Fibonacci
Fig. 1
Ces deux petits blocs
(Fig. 1) contiennent l'accord parfait entre la réalité géométrique de la suite
de Fibonacci et la divine proportion.
Le ratio entre les deux
icosaèdres est phi.
En prolongeant ces
icosaèdres dans l'espace, nous obtenons une colonne
icosaédrique virtuellement infinie (Fig. 2).
Fig. 2
La question est celle-ci :
Peut-on
obtenir, par l'addition simple ou répétitive des deux premiers icosaèdres, la
mesure exacte de tous les icosaèdres qui suivront sur la colonne icosaédrique?
La
réponse est Fibonacci, trois fois plutôt
qu'une, et aucune autre alternative n'est possible…
1 er → 1 petit + 0 grand = 1
2 → 0 petit + 1 grand = 1
2 → 0 petit + 1 grand = 1
3 → 1 petit + 1 grand = 2
4 → 1 petit + 2 grands = 3
5 → 2 petits + 3 grands = 5
6 → 3 petits + 5 grands = 8
7 → 5 petits + 8 grands = 13
(Se référer à la Fig.
3)
L'ordre dans lequel les
petits et les grands icosaèdres se juxtaposent n'apparaît pas pertinent dans un
premier temps.
Néanmoins, la Grille les présente dans un ordre très précis.
Néanmoins, la Grille les présente dans un ordre très précis.
Fig. 3
Progression de la suite de Fibonacci
à l'intérieur de la
Matrice
***
La convergence
expliquée autrement
Si les icosaèdres
avaient tous eu la valeur 1, il y aurait
eu un match parfait entre Phi et la suite de Fibonacci. Or, pour
obtenir cette équivalence, il faut diminuer la valeur d'un certain nombre
d'icosaèdres (les petits) à la valeur de 0,618033… Ce pourcentage de petits icosaèdres par
rapport aux grands suit une logique mathématique rigoureuse et prévisible que
j'ai d'ailleurs mise en équation. Celle-ci donne la valeur exacte de la correction à appliquer pour chaque
rapport de deux nombres de la suite de Fibonacci.
***
Voici
un lien qui donne quelques équations et suites logiques élaborées à partir de ce
raisonnement géométrique.
***